Fire investigation update into Quartz Drive fatal house fire

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Halifax Regional Fire & Emergency (HRFE) investigators are classifying the cause of the February fatal house fire on Quartz Drive in Halifax as undetermined.

“We followed every investigative avenue available to us – and tested every theory – to learn what we could about this fire,” said HRFE Chief Ken Stuebing. “We believe the fire started in the back of the main floor living room area, near a couch. However, despite our best efforts, we are unable to say what caused this tragic event.”

Fire investigations by their nature are challenging and very difficult to solve because valuable evidence can be lost in a fire. Clues that might lead investigators in a certain direction are destroyed. It’s not unusual to conclude a fire investigation without being able to identify a cause.

Since January 2015, the cause in 25 per cent of major fires in the municipality were classified as undetermined.

Stuebing said the fire department will continue to investigate the cause of this fire if new information becomes available.

HRFE investigators consulted with the provincial Fire Marshal’s Office and the investigator with the property owner’s insurance company. Everyone came to the same conclusions.

Stuebing said while a cause couldn’t be determined, investigators say nothing was found at the scene that would lead them to believe the fire was suspicious or that an accelerant was used.

Investigators were also able to rule out possible ignition sources. “Based on evidence collected and documented at the scene, we can confidently say the fire was not caused by baseboard heaters, kitchen cooking, or because of an electrical fault or defect,” said Stuebing.

The electrical panel utilized breakers. The breaker for the baseboard heater was in the off position. The breaker was removed and analyzed by an electrical engineer, who concluded it was working, however it was in the off position before the fire started.

Stuebing said when the cause of a fire is undetermined, it is impossible to suggest what – if anything – could have been done to prevent it.

Despite not knowing the cause, nothing led investigators to believe there is a public safety concern.

Stuebing said the first line of defence against fire loss is public education.

With that in mind, HRFE continues to work with ISANS, the Immigrant Services Association of Nova Scotia, to provide fire prevention education materials and training sessions for those interested in learning more about how to make their new Canadian homes safer.

Since the tragic fire in February HRFE has:

  • Organized eight fire safety presentations
  • Attended with fire prevention booths at three public events
  • Held two train-the-trainer events where we advised the new trainers on what fire safety information they should consider/avoid in their sessions, and what resources are available to them.
  • Added a link on the municipal website to multi-language fire safety tip sheets.

HRFE also has two programs aimed at equipping citizens with valuable fire prevention tips and tools.

The first is HRFE’s ‘Alarmed and Ready’ program, which provides residents with smoke and/or carbon monoxide detectors if they cannot afford one.

In addition, HRFE recently introduced the Practice Using Safety at Home (PUSH) program, which puts fire crews into the community, performing home visits. These home visits include education on civic numbering, emergency preparedness, the importance of early warning devices, and a demonstration on how to maintain and test smoke and carbon monoxide alarms.

Residents are encouraged to call 311 for more information on either program.

A short summary of this fire investigation and other investigations can be found on the HRFE Fire Investigations website.

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Les enquêteurs du Service régional d’incendie et d’urgence d’Halifax (HRFE) estiment que la cause de l’incendie mortel survenu en février sur la promenade Quartz à Halifax est indéterminée.

« Nous avons suivi toutes les pistes d’enquête qui s’offraient à nous – et testé toutes les théories – pour apprendre ce que nous pouvions sur cet incendie », a déclaré Ken Stuebing, chef du HRFE. « Nous pensons que le feu a pris à l’arrière du salon du rez‑de-chaussée, près d’un canapé. Cependant, malgré tous nos efforts, nous sommes incapables de dire ce qui a causé ce tragique événement. »

Par leur nature, les enquêtes sur les incendies posent un défi et sont très difficiles à résoudre parce que des preuves précieuses peuvent être perdues dans un incendie. Les indices qui pourraient mener les enquêteurs dans une certaine direction sont détruits. Il n’est pas rare de conclure une enquête sur un incendie sans être en mesure d’en déterminer la cause.

Depuis janvier 2015, la cause de 25 % des incendies majeurs dans la municipalité a été classée indéterminée.

M. Stuebing a indiqué que le service d’incendie continuera d’enquêter sur la cause de cet incendie si de nouveaux renseignements sont disponibles.

Les enquêteurs du HRFE ont consulté le bureau provincial du prévôt des incendies et l’enquêteur de la compagnie d’assurance du propriétaire foncier. Tout le monde est arrivé aux mêmes conclusions.

Selon M. Stuebing, bien qu’il n’ait pas été possible de déterminer la cause de l’incendie, les enquêteurs n’ont rien trouvé sur les lieux qui les amènerait à croire que l’incendie était suspect ou qu’un accélérant avait été utilisé.

Les enquêteurs ont également été en mesure d’exclure d’éventuelles sources d’inflammation. « D’après les preuves recueillies et documentées sur les lieux, nous pouvons affirmer en toute confiance que l’incendie n’a pas été causé par des plinthes chauffantes, la cuisson dans la cuisine ou une panne ou un défaut électrique », a déclaré M. Stuebing.

Le tableau électrique utilisait des disjoncteurs. Le disjoncteur de la plinthe chauffante était en position arrêt. Le disjoncteur a été déposé et analysé par un ingénieur électricien qui a conclu qu’il fonctionnait, mais qu’il était en position d’arrêt avant le début de l’incendie.

Selon M. Stuebing, lorsque la cause d’un incendie est indéterminée, il est impossible de suggérer ce qui aurait pu être fait pour l’éviter.

Bien qu’ils n’en connaissent pas la cause, rien n’a porté les enquêteurs à croire qu’il y a un problème de sécurité publique.

Selon M. Stuebing, la première ligne de défense contre les pertes causées par un incendie est l’éducation du public.

Dans cette optique, le HRFE continue de travailler avec l’ISANS, l’Immigrant Services Association of Nova Scotia, pour fournir du matériel éducatif et des séances de formation sur la prévention des incendies aux personnes intéressées à en apprendre davantage sur la façon de rendre leur nouvelle maison canadienne plus sécuritaire.

Depuis le tragique incendie de février, le HRFE a pris les mesures suivantes :

  • L’organisation de huit présentations sur la sécurité incendie
  • La participation à trois événements publics avec kiosques de prévention des incendies
  • La tenue de deux activités de formation des formateurs au cours desquelles nous avons conseillé les nouveaux formateurs sur les renseignements sur la sécurité-incendie qu’ils devraient prendre en considération ou éviter dans leurs séances et sur les ressources qui leur sont offertes.
  • L’ajout d’un lien sur le site Web municipal vers les fiches-conseils de sécurité incendie multilingues.

Le HRFE a également deux programmes visant à fournir aux citoyens des conseils et des outils précieux en matière de prévention des incendies.

Le premier est le programme « Alarmé et prêt » du HRFE, qui fournit aux résidents des détecteurs de fumée et/ou de monoxyde de carbone s’ils ne peuvent se le permettre.

De plus, le HRFE a récemment lancé le programme Practice Using Safety at Home (PUSH), qui permet aux équipes de pompiers d’effectuer des visites à domicile dans la communauté. Ces visites à domicile comprennent l’éducation sur la numérotation civique, la préparation aux situations d’urgence, l’importance des dispositifs d’alerte rapide et une démonstration sur la façon d’entretenir et de tester les détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone.

Les résidents sont encouragés à composer le 311 pour obtenir de plus amples renseignements sur l’un ou l’autre de ces programmes.

Un bref résumé de cette enquête sur les incendies et d’autres enquêtes se trouve sur le site Web des enquêtes sur les incendies du HRFE.